Boulomsouk Svadphaiphane questionne l’altérité et la notion de la place qui l’accompagne.
Ce questionnement part de son « bing bang » des origines. Elle puise les réponses dans les perceptions, les sens des gens, les siens. Sans forcément être dans une quête de justesse mais plutôt une recherche des impressions propres à chacun, chacune pour construire des récits individuels qui dévoilent des sommes de vérités.
Par les perceptions, les sensations, c’est la mémoire dans les corps, la transmission de sa propre histoire mais aussi des récits qui nous traversent, ceux d’une société, d’une famille, qu’elle convoque.
Autant de pas de côté essentiels pour transposer dans ses créations avec les films, la photographie, la peinture, la transmission de nos héritages, pour mieux comprendre le devenir de nos sociétés avec les égratignures et cicatrices qui nous habitent, enfin les exprimer pour faire Monde.
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